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auteurMis en ligne par Ignace de Witte le 4 septembre 2012

Essai Audi A1 Sportback

Des sièges extraordinaires

Cotrans Automobiles nous a concocté une petite virée dans l’Est pour nous faire découvrir ses dernières nouveautés, dont l’A1 Sportback, qui vient compléter une gamme déjà bien étoffée. L’A1 Sportback est la version 5 portes de l’A1 trois portes présentée prédédemment. La petite citadine des quartiers chics devient encore plus pratique au quotidien.

Des trois marques allemandes premium (Audi, Mercedes et BMW), c’est Audi qui progresse le plus en termes de ventes à La Réunion, en raison de sa politique tarifaire, de son positionnement social moins marqué et d’une actualité produit fournie. La dernière arrivée dans la gamme, l’A1 Sportback, devrait enfoncer le clou.

L’A1 Sportback devrait réussir là où l’Audi A2 a échoué, à savoir, devenir la petite citadine des quartiers huppés de La Réunion, assez petite pour se faufiler partout et se garer facilement, mais assez confortable pour les « longs » trajets, c’est à dire ici, Saint-Denis-Saint-Pierre, voire un tour complet de l’île avec 5 adultes à bord.

Pour cela, l’A1 Sportback n’a pas choisi la carrosserie de micro-monospace de l’A2 mais, plus simplement, une version 5 portes de l’A1 bien connue des Réunionnais et reconnaissable, entre autres, à ces arches de toit et ses rétroviseurs de couleur contrastées avec la carrosserie. Sur la Sportback de notre essai, non seulement les arches et les rétroviseurs mais également le toit sont de couleur contrastée avec la carrosserie, ce qui est du plus bel effet. L’A1 n’a rien perdu de son « sex appela » en passant de 3 à 5 portes. Les ingénieurs ont réussi a intégrer deux portes supplémentaires sans que cela compromette l’équilibre esthétique.

(Cliquez sur les photos pour les agrandir)

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La grande calandre « single frame », participe à son image de marque, de même que ces feux diurnes à leds au dessin si particulier (wing), sans oublier les larges passages de roue. D’origine, l’A1 Sportback version S-Line est équipée de jantes en 17 pouces chaussées de pneus 215/40R17 mais les ailes peuvent accueillir sans problème des jantes de 18 pouces avec des pneus de taille encore plus basse : 215/35R18.

Les dimensions du véhicule restent compactes, à savoir 3954 millimètres de long, 1746 millimètres de large (+6 mm par rapport à la trois portes) et 1422 millimètres de hauteur (+5 mm par rapport à la trois portes). L’empattement est relativement long: 2469 millimètres, ce qui fait que les porte-à-faux avant et arrière sont courts, d’où une meilleure tenue de route. Le coffre fait toujours 270 litres, ce qui n’est pas énorme en valeur absolue mais conforme à la vocation de cette voiture: elle n’est pas conçue pour traverser la France de Lille à Marseille avec enfants et bagages. C’est une citadine compacte.

L’intérieur est, disons… très germanique : tout est noir, du sol au plafond. À défaut d’être « fun », cela met en relief la qualité des matériaux, la robustesse et c’est finalement très classe. Ce qui nous a le plus séduit dans l’habitacle, ce sont les nouveaux sièges « S-Line »: ils assurent un maintien exceptionnel et confèrent à la petite A1 une note de sportivité qui séduira beaucoup la gente masculine. D’ailleurs, personnellement, nous n’avons jamais été aussi confortablement assis dans une voiture de série sur le parcours de la spéciale de Bras-Pistolet!

Nous avons également apprécié la faible hauteur des vitrages latéraux, qui donnent l’impression d’être bien en sécurité à l’intérieur de l’habitacle.

Cela ne se voit pas mais c’est tout aussi important que le reste: un revêtement en plastique recouvre en grande partie le soubassement, le protège du sel et des éclats de pierres et optimise le passage de l’air. Le CX de cette A1 Sportback est de 0,32, ce qui est une très bonne note.

On notera que l’A1 Sportback est équipée de la technologie « cylinder on demand », qui permet de couper deux cylindres sur quatre, en certaines circonstances. Avec le stop & start (généralisé sur toute la gamme), cela contribue à diminuer fortement la consommation.

La motorisation de notre voiture d’essai, à savoir un 1.6 TDI de 105 chevaux, nous paraît correspondre parfaitement à la demande locale, que l’on sait très dieselophile. Mais, avec à peine 35 centimes de différence actuellement entre le diesel et l’essence (1,23 euro le litre de diesel contre 1,58 euro le litre de SP95), on sera peut-être mieux inspiré d’opter pour le 1,6 litre TFSI (essence), plus pétillant avec ses 122 CV (contre 105 pour le TDI) et qui a l’avantage d’être disponible avec une boite automatique S tronic à sept rapports, qui procure indéniablement un plus grand agrément de conduite. Sans compter que le diesel est actuellement accusé d’être plus nocif à la santé.

Même si le TFSI consomme 1,3 litre de plus au 100 km que le TDI (5,2 litres contre 3,9 litres), sur un an , si vous parcourez 15.000 km par an, cela ne fait que 500 € de différence.

 # Audi   # Allemagne drapeau   # segment B   # citadine 

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