Mis en ligne par
Ignace de Witte
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Le nouveau Kona est encore plus looké et ne passe pas inaperçu dans le trafic. C’est essentiellement au niveau de l’agencement des feux qu’il se démarque de la concurrence, qui est particulièrement féroce sur ce segment B-SUV, une concurrence qui est même interne, car le Kona fait même de l’ombre même au Tucson plus haut en gamme !.
Le Kona se caractérise par un bandeau lumineux qui va d’un bord à l’autre à l’arrière, mais ça d’autres l’ont aussi. Par contre, le Kona arbore aussi un bandeau lumineux à l’avant et ça il est le seul à l’avoir, du moins pour le moment. Pour mettre ces bandeaux avant et arrière encore plus en valeur, les blocs optiques avant et arrière sont verticaux et installés vraiment aux 4 coins du véhicule à tel point que, s’il n’y avait pas les aides au parking, on serait vraiment inquiet pour eux à chaque manœuvre de stationnement !
Il y a aussi cette très audacieuce nervure de caractère en forme de «Z» sur les flancs, comme un éclair.
Le design futuriste se prolonge à l’intérieur de l’habitacle, avec une «planche de bord» constituée de deux écrans de 12,3 pouces accolés, et le futurisme se retrouve aussi au niveau des aides : le nouveau Kona peut se garer tout seul, en le pilotant avec la clef, un équipement rare, pour ne pas dire unique sur un véhicule de cette catégorie.
Ses 141 chevaux et 265 Nm de couple, obtenus à l’aide d’un bloc thermique d’1,6 litre essence et d’un moteur électrique de 43 chevaux, lui permettent de passer de 0 à 100 km/h en 10,9 sec.
Photos © vroum.info
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